REVIEWS

AU DELA


Inferno - SIDE-LINE MUSIC - 04/2020

The tracklist is rather diversified although there are only 9 tracks featured. The album takes off a rather typical 80s dark-wave style reminding me a bit of The Virgin Prunes. We next get songs, which are more into dark-rock passages, but always merged with good-old dark-wave elements. Some pieces are dreamy-like while others are filled with a melancholic flavor. Most of the vocals are sung in English, but the female vocals are in French.[...]If you like the dark hours of the 80s dark/cold-wave era, Nova Et Vetera is for sure a band that will catch your attention. The guitar playing empowers this darkness hanging over the songs.[...]
SIDE-LINE MUSIC

Twilight - G.O.D - 03/2020

Il est toujours regrettable d’apprendre que le nouveau disque d’un groupe de la trempe de Nova et Vetera sera le dernier. Du moins ne nous quitterons nous pas fâchés puisque ce troisième essai s’aligne clairement au niveau des autres, eux-mêmes plutôt géniaux. Incroyable comme un son de percussions peut rassembler, donner l’impression de faire partie d’un même cercle, une même tribu…[...]Oscillant entre gothic rock primitif (au sens noble), cold wave organique qui ne cherche pas à tester l’acoustique de son frigidaire, le groupe avec son talent habituel, capte par ses rythmiques impeccables, fascine par son chant expressif, ajoute de la mélodie et de l’obscurité avec la guitare[...]
GUST OF DARKNESS

Sylvaïn Nicolino - OBSKÜRE - 11/2019

Retour aux années 1980 : celles du Southern Death Cult pour être plus précis.Nova Et Vetera a été fondé en 1998, mais sa production ne décolle qu'après 2010.Sur scène, crânes et théâtralité, possession, corps blanchis à la cendre. Sur disque, la batterie et les percussions (C-Real et Miss Lamort) créent le cadre formel. Les nappes de guitares éruptives ou lancinantes ("Playtime") donnent l'ambiance. Trois se partagent le chant : Mr et Miss Lamort ainsi qu'Herrich Le Grand (le procédé est bien mis en voix sur « To the Afterlife »). Ce dernier joue également de la basse : elle est sombre, lente. Une deuxième guitare, animée par Michael von Boost, module et prend parfois de l'ampleur ("Before"). Leur musique est dense, profonde. Joueuse aussi comme cette basse bondissante de "Before" ou les nappes synthétiques qui viennent clore "To the Afterlife".Les paroles, lorsqu'elles sont en français, ramènent aux psalmodies de Lucie Cries ou encore à celles de Dix Petits Indiens. On est dans le tragique et le sensuel, ce qui donne des compositions plus atmosphériques qu'énergiques ("A Pipe Dream", "29093D"), qui flottent dès que le format est court ("Demain"). Le disque sort en digital et format vinyle, ce qui donne à la peinture de Nathalie Derimay sa pleine puissance : une femme zombifiée en un noir et blanc saturé (d'après une photo de Pier Gahell). Pour le groupe de l'Oise et du Val d'Oise, cependant, ce disque marque une mort : il est annoncé comme le dernier.
OBSKÜRE

Kurt Ingels - DARKENTRIES - 11/2019

“(...)In al die jaren is de oorspronkelijke intentie overduidelijk aanwezig gebleven, gothic rock met een wel zeer eigen gezicht en typerende Franse inslag (een zekere cold wave feel bedoel ik hiermee). “Before” opent een beetje zoals een verloren gelopen Bauhaus track, de bassen en ritmesectie is mede door de tribale insteek een beetje schatplichtig aan wat je ook wel kon horen aan tribale invloeden bij Virgin Prunes. Doch het totaalpakket zit muzikaal eerder ver van deze voorbeelden, zo scheurt de gitaar regelmatig een death rock spel door de boxen. Om dit te illustreren kan ik alweer naar het nummer “Before” wijzen. Nummers als “23093D”, “Demain” of “A Pipe Dream” zwellen aan tot stevig rockende post punk met bezwerende zanglijnen flirtend met de grenzen van goth en death rock. Opener “Stay That Prick” is een zwierige semi batcave wals terwijl “Playtime” met vrouwelijke vokalen voelt als een soort feline dreiging. U merkt het deze “Au-Delà” (op gelimiteerd vinyl) is niet zomaar voor één gat te vangen. De muziek is bezwerend, bijna magisch maar dan weer scheurend, overweldigend en geaard in potige rock(...)”
DARKENTRIES

Hypnas - BLITZ! - 10/2019

“(...)« Before » est sans doute un des meilleurs titres de l’album et de l’histoire du groupe. Une intro qui rappelle « Bela Lugosi’s Dead » durant les premières secondes puis on est happé par cette incantation et la splendeur du climat dégagé qui se termine en apothéose. Énorme coup de cœur !!! (...)”
BLITZ!/Numéro 31

Kalte Rhythmen - SCHARZESBAYERN - 09/2019

“(...)Gleich zu Beginn bin ich von "Stay that prick" überrascht, das ich als etwas experimentell empfinde. Der Bass macht was er soll, und auch die Pauken-Rhythmen, die ich schon vom Vorgängeralbum Lightnings kenne (Link zur Review), sind dabei, aber die Gitarre sägt teilweise fast jazzig dazwischen, und bei den Sprechgesang-Passagen von Mr. Lamort habe ich Frank N Furter aus der Rocky Horror Picture Show vor Augen. Mit Sprechgesang geht es auch bei "Playtime" weiter, hier jedoch von Miss Lamort, und begleitet von Trommelschlägen, was für etwas Neofolk-Flair sorgt. The Cure habe ich bei den ersten Bass-Takten von "Demain" sofort im Ohr, aber das Zusammenspiel mit Gitarre und Schlagwerk ist dann doch ganz eigenständig und klingt nach Nova Et Vetera, nicht zuletzt auch wegen der Stimme von Mr. Lamort. Bei "A pipe dream" wird die Gitarre auf Death-Rock-Art gespielt, der deprimierende Gesang tendiert dazu aber eher in Richtung Post Punk. Dazu die betonten Tribal-Drums, hier entsteht etwas ganz Eigenes.(...)”
SCHARZESBAYERN


LIGHTNINGS


Michel Perkman - SCHARZESBAYERN - 03/2017

Fazit: Tribal Gothic Rock, besser könnte man das nicht bezeichnen, und besser könnte man es auch nicht spielen. Irgendwie ist das Album viel zu schnell vorbei, weil es so abwechslungsreich ist und absolut keine Längen oder Lückenfüller beinhaltet. Aber man kann es ja einfach nochmal abspielen. In den starken Drums kann man sich dank ihrer hypnotischen Wirkung verlieren. Lightnings ist der perfekte Ausgleich, wenn die Frühlingssonne zu viel der gepflegten gothischen Melancholie vertreiben will. Das klassische Zielpublikum besteht aus der Gothic-Rock- bis Batcave-Szene, aber auch Anhänger von Neofolk sollten wegen der Drums einmal reinhören.
SCHARZESBAYERN


Hugues Bernard - ROCK YOUR UNDERGROUND - 03/2017

Ce second opus de Nova Et Vetera démarre très fort d’emblée avec un hit radiophonique, HIT BY THE LIGHTNING, vraiment dommage que je ne sois plus animateur radio, ce morceau passerait en boucle. La suite de cette face A (oui j’écoute la version vinyle) est tout simplement géniale avec les morceaux, EMPTINESS, TRAVEL LIGHT et LEAVE ME ALONE. Le tout sonne bien tribal grâce à l’excellent batteur Cyril et bien sûr aux autres membres du groupe, Wily (guitares et chant), Carmen (percussions et voix) et Eric (basse et voix). Cet album est pour ma part un mix entre le magnifique et incompris FLOWER OF ROMANCE de P.I.L et le splendide EXTREMITIES… de KILLING JOKE donc de belles références (Martin Atkins est le batteur en commun sur ces 2 albums). Les guitares sont tranchantes parfois rock parfois punk, une éclaircie dans cette sombre ambiance. Les chants sont extra entre l’anglais et le français, une maitrise plus que parfaite. Un excellent morceau vient clôturer cette face ICONE GLACEE "I me and you / You are me / And me / I am you" La face B démarre également en force avec le morceau BE YOURSELF, un côté punk avec le chœur féminin, je trouve ça génial. Looking for a sign, Excellent morceau très eighties, j’en reprendrai bien un autre accompagné d’un bon pétard pour entrer dans un univers d’où l’envie d’en sortir n’existe pas ! LIGHTHOUSE, j’adore ! Tribal à souhait comme déjà dit le digne enfant de PIL et Killing Joke … I’M TERRIFIED. Et pour terminer LES EAUX CALMES ; super morceau qui vous donne un dernier recours celui d’écouter cet album en boucle qui vaut largement une note de 11/10 ! The one … I like. Que la musique soit en vous.
ROCK YOUR UNDERGROUND

Clément Marchal - TWICE - 02/2017

“Ah enfin ! On l'attendait celui-ci ! L'entretien réalisé dans le numéro 58 pendant l'enregistrement nous avait déjà bien mis l'eau à la bouche. Et pas déçu du résultat, emballé dans une pochette au cercle hypnotique, vertueux ou vicieux, peu importe. Le disque captive, avec ses 9 nouveaux titres écoutés in extremis pendant le bouclage et la mise en page de ce précieux numéro. LIGHTNINGS apporte enfin les dernières lumières à mes oreilles attentives. Pas déçu donc, surtout dès le second titre "EMPTINESS", bien sec post et dark, à la manière d'un Siglo XX des familles. Celui qui nous fait rentrer dans le petit clan des adorateurs de sons tribaux et d'ambiances post-mortem délicates qu'on voudrait juste garder pour soi, tant les émotions sont personnelles, peu explicables et non démontrables. On rentre sur des chemins de croix, avec des rencontres improbables entre Norma Loy et New Model Army "LEAVE ME ALONE". C'est bon ça. Et ce coté plus actuel dans les gimmicks de guitares très Interpol sur "BE YOURSELF" mêlées à du bon vieux Corpus Delicti. Ou carrèment des vieux rêves éveillés de Marc Seberg dans le chant de "LES EAUX CALMES", un de mes titres prèfèrés qui achève cet album sombre et lumineux. Nova nous gâte et se fait plaisir. Ici pas de chichis, tout est vrai, fondamental et sans compromis. Un vinyle qui prendra soigneusement sa place sur l'étagère aux cotés de mes collections de Christian Death, Virgin Prunes et Bauhaus.”
TWICE N° 62

Twilight - G.O.D - 12/2016

“Existe-il plus marquant spectacle que celui de la foudre frappant la terre dans l’obscurité ? Comment ne pas s’étonner des réactions superstitieuses des anciens à la vue d’une telle union ? Comme si Prométhée, l’anarchiste suprême, gratifiait l’humanité de la violence de la connaissance absolue…Vous avez remarqué ce ton que j’utilise chaque fois que je parle de Nova et Vetera ? Impossible de m’en empêcher; à chaque écoute j’ai l’image d’une tribu dans la tête, peut-être car elle symbolise la cohérence du groupe ? Certainement mais également sa manière d’écrire. Il y a d’abord cette rythmique qui s’écoule comme une danse tantôt guerrière, tantôt mystique, fougueuse parfois, avec une batterie pas forcément rapide, subtilement enrichie d’apports de percussions (franchement jouissives et part essentiel de l’aspect rituel), une basse qui complète et des guitares sombres, jamais franchement deathrock mais flirtant de près. Vient ensuite le chant qui se calque sur des structures invocatives, sans exagérer lourdement et évitant de ce fait ce qui pourrait devenir un simple gimmick. Rien de tout ça avec Nova et Vetera, l’auditeur a vraiment l’impression d’être admis dans un cénacle privilégié non pour y recevoir un message mais pour devenir partie de ce message. Légèrement plus brut ou plutôt devrais-je dire organique, ce second opus brille par la puissance de ses mélodies (‘Hit by the lightning’, ‘Travel light’, ‘Icône glacée’, ‘Be yourself’…) mais également la force des émotions variées qu’il dégage. Au risque de me répéter, l’impression de rituel est très forte mais dans une version moins religieuse que chez Rosa Crux, développant la conscience du ressenti dans ses touches désespérées, colériques, défiantes ou juste interrogatives. Tout sonne juste dans le timbre de Mrlamort parfaitement complété par celui de MisslaMort et les choeurs des autres musiciens adjoignant ainsi un rôle prédicateur au chant tout en restant dans un canon rock. Pas de faiblesse à relever, une sorte de bande-son parfaite pour la mis en marche d’un ost intemporel en quête d’une connaissance imprégnant à la fois la terre et le ciel.”
GUST OF DARKNESS/LIGHTINGS

Général Hivers - BLITZ! - 01/2017

"Connaissez-vous le « gothic tribal rock » de Nova et Vetera ? Le groupe parisien annonce la parution de son second album, « Lightnings », chez Manic Depression Records. Les compositions sont à la fois très personnelles (les nouveautés, Nova) et nourries d’influences (les éléments du passé, Vetera) bien assimilées (post-punk pour « Hit by the Lightning », gothiques sur « Emptiness », par exemple). L’adjectif « tribal » est parfaitement justifié par la présence de percussions puissantes (« Travel Light »). L’alternance des langues française et anglaise, loin de perturber l’auditeur, apporte une touche d’originalité supplémentaire. Nous avons particulièrement apprécié la richesse des paroles du morceau qui clôt l’album, traîtreusement intitulé « Les Eaux Calmes »."
BLITZ!/Numéro 20

DEAD WALTZ


Twilight - G.O.D - 08/2013

“(..) Dead Waltz a tout d'un voyage, une forme de conte adulte à écouter autour du feu, dans son halo protecteur, de crainte que l'obscurité n'avale l'âme insouciante et non préparée aux mystères dont il est question ici. La musique dégage une impression intemporelle, une confrontation entre le présent et ce qui a été; bien sûr elle puise ses racines dans le post punk goth mais dégage une touche tribale supplémentaire se manifestant tout d'abord dans le jeu (..) ”


Daniel Olvera - This is gothic rock - 06/2013

“(...) Well, this is a pretty interesting concept album; in which every song is an act of the entire play. So, if will be great if you can have this vinyl with the lyrics, in order to get completely immersed in this experience; which is really unique and rich. They have created some realistic soundscapes. Daniel Olvera”


Tomas Woodraf - bat-cave.pl - 03/2013

“(...) "Dead Waltz” to album na który powinni zwrócić szczególną uwagę miłośnicy deathrocka rodem z kraju Charles’a Leconte de Lisle – i naprawdę nie zawiodą się tym krążkiem!”